
Sur Cybertron, les autobots sont sur le point de perdre la grande guerre face aux Décepticons. Optimus Prime envoi un jeune éclaireur, B-127, sur Terre pour être le premier contact pour la construction d'une base pour les Autobots. Attaqué dès son arrivée pour l'armée qui le considère comme une présence hostile, B-127 s'enfuit dans les bois, mais est attaqué par le dangereux Décepticons Blitzwing, qui va lui arracher les cordes vocales durant le combat. Blessé et muet, il prend la forme d'une New Beatle pour passé innaperçu et est receuillit par une jeune fille.
Je n'avais aucun intérêt pour ce film, je n'en ai d'ailleurs plus aucun pour les foutus films de Transformers, mais on m'a convaincu que celui-là redressait un peu les choses. Je suis forcé d'admettre que oui. Alors que le style Michael Bay a complètement fait dérapé la série, qui ne fait que dans la surenchère, BUMBLEBEE est davantage simple et formulatique et se concentre davantage sur le développement des personnages que sur les effets spéciaux qui demeure de belle qualité. On oublie les tentatives de faire un film épique à fond et à en mettre plein la gueule, BUMBLEBEE tente d'avoir une identité. Le gros du temps est dans le développement de l'amitié naissante entre Charlie et le robot et je dois dire, entre un mélange de scène efficace et l'acting toujours à point de Hailee Steinfield, ça marche! Les scènes d'action sont de leur côté, beaucoup moins effréné et bien plus simples à suivre. On se retrouve avec une expérience limitée, mais absolument plaisante et digne d'un bon film popcorn qui peut-être apprécié par n'importe qui. La table est mise pour les autres films qui je l'espère, garderont cette voie beaucoup moins prétentieuse.