Dial : Help
Une jeune femme avec des pouvoirs psychiques se retrouve à être la victime de l'âme d'un opérateur de téléphone décédé. Comme l'esprit est vraiment, mais vraiment jaloux, il décide d'éliminer les amis de son intérêt amoureux avec sa seule façon de se manifester, le téléphone...
Ouais ben, parlant d'un beau pétard mouillé, ce DIAL HELP de Ruggero Deodato fait assez peine à voir.C'est évidemment une curiosité de voir un film où le tueur est un téléphone, mais je peux vous dire d'emblée que ça a l'air intéressant, voir comique cheezy et que c'est chiant à mort. Il ne se passe pas grand chose, c'est mis en scène sans inspiration et ça traîne jusqu'en en être pratiquement irrécupérable après le premier 20 minutes. On sait qui va crever, on sait comment tout va se passer, la seule surprise pouvant provenir de l'origine de ce téléphone meurtrier avec une révélation et un climax pas du tout travaillé. Les meurtres du téléphone sont décevants, sans magie et le seul attrait du film tombe vraiment à plat. Un élément vient sauver le film, c'est que Charlotte Lewis est chaude comme le soleil et se promène régulièrement en petite tenue. That's it. Ne perdez pas votre temps.