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Le Culte-O-Rama Pour l'amour des films de genres. Des articles et commentaires sur des films gros budgets ou très obscurs qui sont tombés sous l'attention de Tuco.

Queen of the Damned

Tuco

akasha.jpg

 

Après plusieurs années de sommeil, le vampire Lestat se réveille pour se rendre compte que le monde dans lequel il vivait a bien changé. Voulant maintenant en refaire partie, il devient une star internationale du Rock et sa musique subjective réveille la Princesse des vampires, Akasha, possédant des pouvoirs énormes. Maintenant, elle veut de Lestat comme roi, pour prendre contrôle du monde des hommes.

 

Après INTERVIEW WITH A VAMPIRE, Hollywood pensait que la base littéraire de Anne Rice était de l'or en barre pour l'industrie cinématographique. Quelques années après le film Neil Jordan, voilà qu'on en remet avec QUEEN OF THE DAMNED, présentant encore une fois Lestat, mais dans un contexte complètement différent. Le résultat n'est pas très alléchant, on tente de créer une ambiance un peu langoureuse avec un côté bien hip et cool et le mélange ne prend tout simplement jamais. C'est brouillon, fouilli, le film se cherche constamment et le personnage principal est absolument détestable. La mise en scène essaye bien des choses, mais que ça soit dans les scènes d'action pas crédibles pour deux sous, dans les scènes d'érotismes fades ou dans les dialogues interminables, on regarde au final plus la montre que le film. La chose la plus intéressante dans l'entreprise et Aliyah, dans son dernier rôle avant sa mort tragique, qui crève l'écran par sa démarche de serpent, son costume aguichant et sa performance en générale. Les effets spéciaux sont assez hideux et c'est assez dommage qu'ils soient présents dans des scènes clées. On a donc ici un ratage avec des beaux décors et des beaux costumes.

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