Lights Out
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Le tout jeune Paul vit des moments difficiles depuis que son père est mort que la santé mentale de sa mère dépérît. Paul ne vit pas que de la tristesse, une créature, vivant dans le noir, cherche à l'attraper. Appelé par les services sociaux, Rebecca, la soeur de Paul qui a quitté la maison pour fuir sa mère, revient pour aider son frère et se rend également compte de la présence de la créature. En essayant de comprendre la situation, Rebecca se rend compte qu'il y a une connection entre la créature et sa mère.
Dans la catégorie short and sweet, celui-là mérite d'être souligné. 80 minutes, aucun temps mort et une trollée de scènes de tension et de jumpscares. Si c'est dans vos cordes, pas de doutes, c'est pour vous. Peut-être que c'est cette vitesse qui empêche peut-être LIGHTS OUT de se placer parmi les meilleurs, parce que les personnages sont rapidement tracés et que acteurs semblent avoir bien peu d'espace pour situer leur personnage dans le film. On se rend bien compte que LIGHTS OUT n'est là que pour laisser de la place à cette créature, merveilleusement bien mise en scène, offrant des scènes de tension d'un creepy vraiment merveilleux. La scène d'ouverture d'ailleurs, met la table à ce qui s'avérer, un film d'horreur simplement d'une grande efficacité. Tombé un peu dans l'oubli, il n'en demeure pas moins un film à voir.