Olympus
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Trahisons et intrigues pour différents personnes cherchant à réaliser l'impossible, trouver la porte de l'Olympe pour devenir des Dieux.
Voilà l'exemple parfait d'une série qui ne savait simplement pas arrêter ses prétentions. L'idée même de vouloir faire une histoire aussi épique quand on a un seul décor me scie la banane. OLYMPUS, c'est le festival du green screen et des effets spéciaux à rabais. Cette histoire, pleine de trahisons, mènent tristement à nulle part. Plein de personnages meurt sans trop de conséquences et ça devient presque métaphysique vers la fin, mais au lieu de m'intéresser d'une série qui déjà allait lentement, j'ai souffert à me rendre jusqu'au dernier épisode. Le premier épisode montre un cyclope, qui laisse penser qu'on aura d'autres moments de la sorte dans la série, ce qui n'est rien, mais on voit beaucoup de gens avoir beaucoup trop de dialogues. Cette émission se regarde sans aucun plaisir, tout du long. Impressionnant que ce projet frôlant l'amateurisme se soit rendu sur le petit écran.