Ghost Rider

Dans le but de sauver son père, le jeune cascadeur Johnny Blaze vend son âme au chef de l'enfer, Mephisto. Mais l'âme n'était pas la seule chose demander par le maître des ténèbres, Johnny doit aussi abandonner l'amour de sa vie. 20 ans plus tard, Blaze est le plus grand cascadeur du monde, dépressif, imprudent et dangereux, il reprend goût à la vie quand il rencontre la femme de sa vie, devenue reportaire. Tout se brouille ensuite, , Blackheart, une des âmes de Mephisto veut prendre le trône de son père. Le seul moyen pour Mephisto de se défendre est d'envoyer son Ghost Rider, un guerrier qu'il choisit et qui sera pourvu d'incroyables pouvoirs. Son choix, Johnny Blaze qui malheureusement, ne semble pas être capable de concilier son bonheur, et le Ghost Rider en lui.

J'ai toujours trouvé le personnage du Ghost Rider terriblement fade, alors la qualité d'un film sur le héros à la tête de squelette ne m'inspirait pas confiance. Bon sang que j'avais raison, après un an à retarder le visionnement, finalement je n'avais pas manqué grand chose. On a l'impression de regarder un film d'action des années 80, sans le charme de l'époque. En fait, le tout est surtout irritant. D'abord le plus gros problème, Nicolas Cage. On a la franche impression qu'il est là seulement pour encaisser son chèque et foutre son camp ensuite. Il cabotine tellement que ça en devient gênant véritablement gênant et en plus, il ne semble montrer aucune intérêt envers un projet qui de toute façon, avait un scénario trop faible pour en sortir un moindre soupcon de qualité générale. Finalement, un film sans ambition, avec un gros signe de $ derrière le titre et deux ou trois incompétents en laisse pour faire un film oubliable, de quoi être numéro une semaine au Box Office et disparaître de la mémoire collective ensuite.