Jurassik Park

John Hammond est un homme d'affaires tellement riche, qu'il met sur pieds un parc d'attraction ou les attractions sont des... dinosaures... des vrais. Hammond choisi certaines personnes pour une petite visite pré-ouverture, pour avoir l'avis de professionnel. Problème par contre, le système de sécurité crash et les dinosaures sortent et ils ne sont pas tous gentils.

Fallait que j'en parle un jour ou l'autre de ce film, car je suis drôlement en retard en plus. On l'a tous vu à un moment ou un autre, mais quand même, QUELLE CLAQUE! Du divertissement à l'état pur par un Spielberg, qui fait un spectacle énorme, avec des dinosaures dont la qualité n'a pas encore été égalé. En fait, malgré une palette de personnages hyper intéressants, les véritables vedettes de JURASSIK PARK restent les dinosaures, que ce soit les scènes assez dantestques avec le T-Rex, à la tension énorme à chaque apparition des vélociraptors ou à l'intriguante/rigolote/effrayante scène avec la créature à colle qui bouffe le petit gros, c'est du bonbon du début à la fin. Comme toujours chez Spielberg, chaque plan a sa raison d'être, le montage est monstrueusement poignant (La scène avec les raptors dans la cuisine est du génie) et la maîtrise du réalisateur est toujours aussi fascinante. C'est un film dur, avec plusieurs moments dégeux, mais c'esr aussi un film plutôt touchant avec un personnage principal détestant les enfants, qui se retrouvent à survivre avec deux d'entre eux. Notons aussi Jeff Goldblum, hilarant dans le rôle d'un physicien assez imbu de lui-même. C'est de l'aventure comme on les aime, avec nos coeurs qui sursautent d'excitation et qui sont apaisés par la beauté de la chose.